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10 novembre 2004

codage ASCII normalisé (USA)

Symboles visibles

décimal hexa.
32 20h
! 33 21h
" 34 22h
# 35 23h
$ 36 24h
% 37 25h
& 38 26h
' 39 27h
( 40 28h
) 41 29h
* 42 2Ah
+ 43 2Bh
, 44 2Ch
- 45 2Dh
. 46 2Eh
/ 47 2Fh
0 48 30h
1 49 31h
2 50 32h
3 51 33h
4 52 34h
5 53 35h
6 54 36h
7 55 37h
8 56 38h
9 57 39h
: 58 3Ah
; 59 3Bh
< 60 3Ch
= 61 3Dh
> 62 3Eh
? 63 3Fh
décimal hexa.
@ 64 40h
A 65 41h
B 66 42h
C 67 43h
D 68 44h
E 69 45h
F 70 46h
G 71 47h
H 72 48h
I 73 49h
J 74 4Ah
K 75 4Bh
L 76 4Ch
M 77 4Dh
N 78 4Eh
O 79 4Fh
P 80 50h
Q 81 51h
R 82 52h
S 83 53h
T 84 54h
U 85 55h
V 86 56h
W 87 57h
X 88 58h
Y 89 59h
Z 90 5Ah
[ 91 5Bh
92 5Ch
] 93 5Dh
^ 94 5Eh
_ 95 5Fh
décimal hexa.
` 96 60h
a 97 61h
b 98 62h
c 99 63h
d 100 64h
e 101 65h
f 102 66h
g 103 67h
h 104 68h
i 105 69h
j 106 6Ah
k 107 6Bh
l 108 6Ch
m 109 6Dh
n 110 6Eh
o 111 6Fh
p 112 70h
q 113 71h
r 114 72h
s 115 73h
t 116 74h
u 117 75h
v 118 76h
w 119 77h
x 120 78h
y 121 79h
z 122 7Ah
{ 123 7Bh
| 124 7Ch
} 125 7Dh
~ 126 7Eh
DEL 127 7Fh

Symboles de fonction

décimal hexa. clavier terme anglais terme français
NULL 00 Ctrl+@ Null Nul
SOH 01 Ctrl+A Start of heading Début d'entête
STX 02 Ctrl+B Start of text Début de texte
ETX 03 Ctrl+C End of text Fin de texte
EOT 04 Ctrl+D End of transmit Fin de communication
ENQ 05 Ctrl+E Enquiry Demande
ACK 06 Ctrl+F Acknowledge Accusé de réception
BELL 07 Ctrl+G Bell Sonnerie
BS 08 Ctrl+H Backspace Retour arrière
HT 09 Ctrl+I Horizontal tab Tabulation horizontale
LF 10  0A Ctrl+J Line feed Interligne
VT 11  0B Ctrl+K Vertical tab Tabulation verticale
FF 12  0C Ctrl+L Form feed Page suivante
CR 13  0D Ctrl+M Carriage return Retour en début de ligne
SO 14  0E Ctrl+N Shitf out Hors code
SI 15  0F Ctrl+O Shift in En code
DLE 16  10 Ctrl+P Data line escape Echappement en transmission
DC1 17  11 Ctrl+Q Device control 1 Commande auxiliaire n° 1
DC2 18  12 Ctrl+R Device control 2 Commande auxiliaire n° 2
DC3 19  13 Ctrl+S Device control 3 Commande auxiliaire n° 3
DC4 20  14 Ctrl+T Device control 4 Commande auxiliaire n° 4
NAK 21  15 Ctrl+U Negative acknowledge Accusé de réception négatif
SYN 22  16 Ctrl+V Synchronous idle Synchronisation
ETB 23  17 Ctrl+W End of transmit block Fin de bloc transmis
CAN 24  18 Ctrl+X Cancel Annulation
EM 25  19 Ctrl+Y End of medium Fin de support
SUB 26  1A Ctrl+Z Substitute Remplacement
ESC 27  1B Ctrl+[ Escape Echappement
FS 28  1C Ctrl+ File separator Séparateur de fichier
GS 29  1D Ctrl+] Group separator Séparateur de groupe
RS 30  1E Ctrl+^ Record separator Séparateur d'enregistrement
US 31  1F Ctrl+_ Unit separator Séparateur d'unité
SP 32  20 Space Espacement
DEL 127  7F Delete Effacement
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19 octobre 2004

COMMENT MONTER SON ORDINATEUR ?

Comment monter son PC ?


 

Comment monter son PC = assembler son ordinateur

 

Assembler son PC, alors qu'il est en pièces détachées, est une tâche bien plus simple qu'il n'y paraît !!

Toutefois, il est bon de rappeler la procédure à respecter afin d'éviter de mauvaises manipulations qui réduiraient à néant le plaisir de voir fonctionner sa nouvelle acquisition.

C'est pour cela que nous allons aborder, dans ces pages, le montage d'un PC de base, pas à pas.

Ce que j'entends par PC de base est une machine qui comprend les éléments essentiels cités ci-dessous :

      • une carte mère (avec l'option Audio dans cet exemple),
      • un processeur,
      • un ventilateur,
      • Barettte mémoire,
      • un boîtier,
      • un disque dur ,
      • un périphérique interne IDE (graveur, lecteur CD-ROM, lecteur DVD-ROM...),
      • un lecteur de disquette,
      • une carte graphique AGP ,
      • une carte au format PCI (carte graphique, son, réseau...),
      • un moniteur,
      • un clavier,
      • une souris.

A noter : les nappes sont en général fournies avec la carte mère et la visserie avec le boîtier.

 

Voici un boitier ATX ainsi que son alimentation.

 



 

Montage du processeur

 avant de commencer, sortez la carte mère de son emballage et disposez-la sur votre plan de travail (insérer une serviette entre la table et la carte mère est une bonne chose)

 soulevez la barre du socket ZIF (Zero Insertion Force)


- insérez le processeur (sans forcer) dans le socket en veillant à bien le positionner par rapport au détrompeur (en général un coin ou deux du processeur est dépourvu de broches et il(s) doit(vent) correspondre à celui ou ceux du socket, comme ci-dessous)

 

 


 rabattez la barre du socket ZIF (veillez à ce que le processeur soit solidement enfiché)

Ce qui suit est facultatif mais permet de bien établir l'échange thermique entre le processeur et le ventilateur.

 enduisez la partie centrale et saillante du processeur d'une fine couche de pâte thermique (1 goutte suffit).

 

 

Montage du ventilateur

disposez verticalement le ventilateur en prenant garde de faire coïncider le décrochage de la base du ventilateur avec la partie visible en plastique du socket.

 Précautions à prendre :


Ne pas faire chevaucher la base du ventilateur avec le socket


Ne pas l'enficher en biais


NE PAS INSTALLER LE VENTILATEUR COMME CELA !!! Vous risqueriez d'endommager la partie centrale du processeur.

 de plus, veillez bien à ne pas endommager ou arracher l'un des 4 coussinets du processeur car ils permettent le maintien du ventilateur.

Nous tenons à préciser que la partie centrale du processeur (en silicium) est très fragile et peut s'ébrécher lors d'un mauvais montage.

 

enclipsez les attaches, de part et d'autre du ventilateur, au socket de la carte mère

connectez l'alimentation du ventilateur sur les broches de la carte mère pourvues à cet effet (nommé CPU fan et généralement de couleur blanche)

 

Pensez à ranger les câbles du ventilateur afin de ne pas gêner les pâles.

 

Montage de la carte mère

présentation d'un boîtier

Nous vous conseillons de disposer le boîtier à plat sur votre plan de travail afin d'avoir un bon appui sur les différentes parties à assembler.

 

 

 installez les supports de montage (entretoises) qui maintiendront la carte mère au boîtier (ces derniers sont soit des clips en plastique soit des supports en métal fournis avec le boîtier) - insérez la carte mère dans le boîtier en prenant soin que les ports PCI/ AGP et les entrées/sorties de la carte mère soient bien alignés avec les trous à l'arrière du boîtier.

 

fixez (clipses ou vis comme ci-dessous) la carte mère sur le support du boîtier.

- branchez le connecteur ATX de l'alimentation électrique provenant du boîtier, sur la carte mère, en respectant le sens (présence d'un détrompeur).

- branchez les connecteurs du boîtier aux broches de la carte mère ( reset , power, HP, HDD led, etc…)
Les indications nécessaires aux branchements sont présentes sur le manuel de la carte mère.

Attention, il y a un sens pour brancher ces connecteurs !!!
Généralement un connecteur pour LED est pourvu d'un fil blanc ou noir qui désigne le (-) et l'autre fil de couleur, le (+).

Exemple de connecteur de LED
(vert="+" ; blanc="-")
Connecteurs du boîtier
(speaker, led, power, etc...)

 

 

Montage du lecteur de disquette

- saisissez le connecteur de la nappe pour lecteur de disquettes (34 broches) le plus éloigné des 2 autres et connectez la nappe sur la carte mère (comme ci-dessous)

Connecteur le plus éloigné

Pour le sens de connexion, un "1" inscrit sur la carte mère permet de repérer, où le fil rouge (ou strié) de la nappe doit être connecté (de plus un détrompeur central permet d'éviter toute erreur).

- insérez le connecteur de la nappe dans celui du lecteur de disquettes (un détrompeur au centre du connecteur permet d'éviter toute erreur de branchement).

 

 

- branchez le connecteur d'alimentation électrique provenant du boîtier, le plus petit qui sort de l'alimentation électrique du boîtier (un détrompeur permet d'éviter toute erreur de connexion)

 enfichez le lecteur de disquette dans un emplacement 3 pouces 1/2.

- vissez le lecteur au châssis du boîtier

Remarque :
Vous pouvez pour des raisons pratiques (boîtier étriqué) procéder tout d'abord par la fixation du lecteur sur le boîtier puis raccorder les différents connecteurs.


Montage du disque dur

- avant toute manipulation, suivez les instructions figurant sur le disque dur pour le configurer en Master (généralement, les constructeurs de disque le configure ainsi par défaut).

- exemple de nappe IDE 80 broches (attention, il se peut que les couleurs des connecteurs de la nappe soient différentes selon votre carte mère)

- connectez le connecteur en bout de nappe sur la carte mère (celui le plus éloigné des 2 autres - le bleu sur la photo du dessus -) en faisant correspondre le fil rouge de la nappe avec le "1" figurant à côté du connecteur "primary IDE" de la carte mère.

- branchez le connecteur d'alimentation provenant de l'alimentation du boîtier sur le disque dur en vous fiant à la forme du connecteur (trapézoïdale) pour ne pas commettre d'erreur.


- enfichez le disque dur dans un emplacement 3.5" en prenant soin de faire correspondre les trous de visseries avec les trous du châssis du boîtier (il est préférable de laisser un espace entre le disque et le lecteur de disquette pour faciliter la ventilation)

Veillez aussi à faire pointer la face du disque comportant les inscriptions de configuration vers le haut comme sur les photos ci-dessous.

- vissez les quatres vis du disque sur le châssis

- Remarque :

Vous pouvez pour des raisons pratiques (boîtier étriqué) procéder tout d'abord par la fixation du disque sur le boîtier puis raccorder les différents connecteurs.

 

Montage d'un périphérique IDE (graveur, lecteur CD-ROM, lecteur DVD-ROM, etc…)

Dans notre exemple, nous avons choisi un graveur.

- nous vous conseillons de le connecter sur une autre nappe IDE que celle du disque dur pour des raisons de performance.

- suivez les instructions figurant sur le périphérique (ou sur sa notice) pour le configurer en Master "MA" ou en Slave "SL" si vous souhaitez le connecter sur la même nappe que le disque dur (généralement, les constructeurs configurent les périphériques IDE en Master par défaut)


Emplacement des jumpers (cavaliers)

- connectez le connecteur en bout de nappe (celui le plus éloigné des 2 autres) sur la carte mère.
Veillez à faire correspondre le "1" de la carte mère avec le fil rouge de la nappe sur le connecteur secondaire "Secondary IDE".

- retirez l'un des caches 5 pouces 1/4 en plastique du boîtier et faîtes glisser le périphérique IDE jusqu'à faire correspondre les trous du châssis avec le périphérique.


- fixez le périphérique IDE au châssis avec quatre vis.

 

connectez l'autre connecteur en bout de nappe sur le périphérique en prenant soin de positionner le fil extérieur rouge de la nappe du côté de l'alimentation du périphérique (toujours le fil rouge sur le "1")

- branchez le connecteur d'alimentation provenant de l'alimentation du boîtier sur le périphérique en vous fiant à la forme du connecteur (trapézoïdale) pour ne pas commettre d'erreur.

- n'oubliez pas de connecter le cordon audio du lecteur CD-ROM (graveur, lecteur DVD) sur la carte mère (comme ci-dessous) ou sur votre carte son...


...puis de connecter l'autre bout au périphérique IDE.

 

 

Montage d'une carte graphique AGP

- retirez le cache métallique du boîtier face au connecteur AGP si besoin est

- insérez la carte dans le connecteur AGP en procédant comme ci-dessous. (attention : certaines cartes mères sont dotées d'une languette de fixation afin d'éviter que la carte se déchausse lorsqu'on la visse au châssis)

- vissez pour maintenir la carte

 

Montage d'une carte PCI

- retirez le cache métallique du boîtier face au connecteur PCI si besoin est, puis présentez la carte au connecteur.

- insérez la carte dans le connecteur en faisant correspondre l'équerre de la carte avec le châssis du boîtier, sans forcer jusqu'à ce que l'équerre de la carte épouse le châssis du boîtier.

Pour des raisons de performance, nous vous conseillons de commencer par placer vos cartes PCI en partant de celui à côté du connecteur AGP.

- vissez pour maintenir la carte.

Il ne vous reste maitenant qu'à brancher les différents composants de votre PC

 

 

Cela peut paraître compliqué, mais il n'en est rien puisque chacun des branchements ne peut se mettre qu'à un seul endroit. D'autre part, les principaux constructeurs d'ordinateurs utilisent un code couleur pour éviter toute erreur.

Vu de dos, votre ordinateur doit ressembler à notre schéma :

 

 


 

18 octobre 2004

LES ELEMENTS D'UNE CARTE MERE

comment est constitué une carte mére ?

 

 

18 octobre 2004

LE BINAIRE

voici le fonctionnement du system BINAIRE  eteeerererere

Présentation du binaire

Vers la fin des années 30, Claude Shannon démontra qu'à l'aide de "contacteurs" (interrupteurs) fermés pour "vrai" et ouverts pour "faux" il était possible d'effectuer des opérations logiques en associant le nombre " 1 " pour "vrai" et "0" pour "faux".

Ce codage de l'information est nommé base binaire. C'est avec ce codage que fonctionnent les ordinateurs. Il consiste à utiliser deux états (représentés par les chiffres 0 et 1) pour coder les informations. L'homme travaille quant à lui avec 10 chiffres (0,1,2,3,4,5,6,7,8,9), on parle alors de base décimale.

Le bit

Bit (noté b avec une minuscule dans les notations) signifie "binary digit", c'est-à-dire 0 ou 1 en numérotation binaire. C'est la plus petite unité d'information manipulable par une machine numérique.
Il est possible de représenter physiquement cette information binaire :

  • par un signal électrique ou magnétique, qui, lorsqu'elle atteint une certaine valeur, correspond à la valeur 1.
  • par des aspérités géométriques dans une surface.
  • grâce à des bistables, c'est-à-dire des composants électroniques qui ont deux états d'équilibre (un correspond à l'état 1, l'autre à 0)

Avec un bit il est ainsi possible d'obtenir deux états: soit 1, soit 0.
2 bits rendent possible l'obtention de quatre états différents (2*2):

0 0
0 1
1 0
1 1

Avec 3 bits il est possible d'obtenir huit états différents (2*2*2):

0 0 0
0 0 1
0 1 0
0 1 1
1 0 0
1 0 1
1 1 0
1 1 1

Pour un groupe de n bits, il est possible de représenter 2n valeurs.

L'octet

L'octet (en anglais byte, noté B avec une majuscule dans les notations) est une unité d'information composée de 8 bits. Il permet de stocker un caractère, telle qu'une lettre, un chiffre ...
Ce regroupement de nombres par série de 8 permet une lisibilité plus grande, au même titre que l'on apprécie, en base décimale, de regrouper les nombres par trois pour pouvoir distinguer les milliers. Par exemple le nombre 1 256 245 est plus lisible que 1256245.

Une unité d'information composée de 16 bits est généralement appelée mot (en anglais word)

Une unité d'information de 32 bits de longueur est appelée double mot (en anglais double word, d'où l'appelation dword).

Pour un octet, le plus petit nombre est 0 (représenté par huit zéros 00000000), le plus grand est 255 (représenté par huit chiffre "un" 11111111), ce qui représente 256 possibilités de valeurs différentes.

27 =128 26 =64 25 =32 24 =16 23 =8 22 =4 21 =2 20 =1
0 0 0 0 0 0 0 0
1 1 1 1 1 1 1 1

KiloOctets, MégaOctets

Longtemps l'informatique s'est singularisée par l'utilisation de différentes valeurs pour les unités du système international. Ainsi beaucoup d'informaticiens ont appris que 1 kilooctet valait 1024 octets. Or, depuis décembre 1998, l'organisme international IEC a statué sur la question (http://physics.nist.gov./cuu/Units/binary.html). Voici donc les unités standardisées :

  • Un kilooctet (ko ou kB) = 1000 octets
  • Un Mégaoctet (Mo ou MB) = 1000 Ko = 1 000 000 octets
  • Un Gigaoctet (Go ou GB) = 1000 Mo = 1 000 000 000 octets
  • Un Téraoctet (To) = 1000 Go = 1 000 000 000 000 octets

Nota Attention ! De nombreux logiciels (parfois même certains systèmes d'exploitation) utilisent toujours la notation antérieure à 1998 pour laquelle :
  • Un kilooctet (ko) = 210 octets = 1024 octets
  • Un Mégaoctet (Mo) = 220 octets = 1024 Ko = 1 048 576 octets
  • Un Gigaoctet (Go) = 230 octets = 1024 Mo = 1 073 741 824 octets
  • Un Téraoctet (To) = 240 octets = 1024 Go = 1 099 511 627 776 octets

L'IEC a également défini le kilo binaire (kibi), le méga binaire (Mébi), le giga binaire (Gibi), le tera binaire (Tebi).
Voici leurs définitions :

  • Un kibioctet (kio ou kiB) vaut 210 = 1024 octets
  • Un Mébioctet (Mio ou MiB)vaut 220 =1 048 576 octets
  • Un Gibioctet (Gio ou GiB) vaut 230 =1 073 741 824 octets
  • Un Tébioctet (Tio ou TiB) vaut 240 =1 099 511 627 776 octets

Il est également utile de noter que la communauté internationale dans son ensemble utilise préférentiellement le nom de "byte" plutôt que le terme "octet" purement francophone. Cela donne les notations suivantes pour kilobyte, mégabyte, gigabyte et terabyte :

kB, MB, GB, TB

Nota Notez l'utilisation d'un B majuscule pour différencier Byte et bit.

Voici une capture d'écran du logiciel HTTrack, l'aspirateur de sites le plus populaire, montrant l'utilisation de cette notation :

capture d'écran du logiciel HTTrack

Les opérations en binaire

Les opérations arithmétiques simples telles que l'addition, la soustraction et la multiplication sont faciles à effectuer en binaire.

L'addition en binaire

L'addition en binaire se fait avec les mêmes règles qu'en décimale:
On commence à additionner les bits de poids faibles (les bits de droite) puis on a des retenues lorsque la somme de deux bits de mêmes poids dépasse la valeur de l'unité la plus grande (dans le cas du binaire: 1), cette retenue est reportée sur le bit de poids plus fort suivant...

Par exemple:

  0 1 1 0 1
+ 0 1 1 1 0
- - - - - -
  1 1 0 1 1

La multiplication en binaire

La table de multiplication en binaire est très simple:

  • 0x0=0
  • 0x1=0
  • 1x0=0
  • 1x1=1

La multiplication se fait en formant un produit partiel pour chaque digit du multiplieur (seul les bits non nuls donneront un résultat non nul). Lorsque le bit du multiplieur est nul, le produit partiel est nul, lorsqu'il vaut un, le produit partiel est constitué du multiplicande décalé du nombre de positions égal au poids du bit du multiplieur.

Par exemple:

    0 1 0 1 multiplicande
x   0 0 1 0 multiplieur
- - - - - -
    0 0 0 0
  0 1 0 1  
0 0 0 0    
- - - - - -
  0 1 0 1 0

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